petaledefleur

Vendredi 03 Février 2012

97,6

Donc rdv chez picpic, je pense que ça ne mène à rien

que des jeux de séductions, et ma perte de poid.

Puis de retour Laurent est encore au taf

donc je l'appelle, il est à la fois partagé

entre le "oui vient" et "ma femme est dans les parages"

donc il me dit je l'appelle tu me rappelle dans 5 mns

je rappelle, il me dit vient vite passe derrière

il fait froid, il à un bonnet ce qui me fait pété de rire

on s'embrasse,

je suis moi du coup inquiette j'ai peur qu'elle n'arrive

il me sort je vais la rappeler

il lui demande de passer chez eux voir un truc

elle est encore au courses

donc on reprend nos envies

nos langues se lient

lui joue avec ma chatte mais sur ma culotte

moi je tente de defaire sa ceinture ( je haie les ceintures mdr)

il m'ouvre tout

elle est là droite dure pour moi

je m'amuse à la caresser avec mes mains

on se mets près de la porte pour pouvoir surveillé des fois que

Il soulève mon corsage pour accéder à mes seins

il vient les lècher, les malaxer

puis sa langue les lèches, sa bouche les suces,

je prend de suite du plaisir par ça

il remonte m'embrasse

je descend sur sa keu pour la sucer

je le suce doucement, je lèche sa longueur

et d'un coup il me sort fortement

" LA VOILA"

panique à bord il se rajuste vite fait

allume deux lumières

ouvre un bureau

et je fais la cliente

bien sur lui à toujours sont bonnet

moi mon manteau

donc elle arrive, il lui sourit je me retourne

l'air étonnée, un sourire

on bredouilles deux mots

il me donne un papier

je me lève lui serre la main

et en passant devant elle un sourire

"elle est belle, pas très grande, pas très féminine mais avec une belle poitrine"

je suis partie ainsi

mais je pense que de l'avoir appeler deux fois à la suite

à du lui donner l'envie de passer voir ce qui se passe

J'ai fait trois courses

avec ce coté insolite dans ma  tete

puis je suis partie mettre le papier qu'il m'avait donner

à sa boite à lettre

il me tarde lundi pour savoir ce qu'elle à dit

Mon Laurent, mdr pour une fois que l'on se revoyait